Louis avait passé une journée épuisante et les dossiers du royaume étaient nombreux . Décidé à s'accorder une pause il décida d'aller rendre visite à sa merveilleuse épouse qu'il n'avait point vu depuis le début de journée . Le roi se leva , quittant son bureau personnel il traversait les couloirs du Palais tout en pensant à ses filles et à sa femme.

Le soir était un moment d'effervescence à la cours de France aussi bien pour les nobles qui venait voir le roi que pour les servants qui préparait dès lors le festin royal , alors il était normal que lorsque le Roi de France s'accordant une pause pour venir voir sa si merveille reine , devenait accessible à quiconque voulait le voir .

Helas point de passage secret pour éviter ces pluies de demande surtout quand celui ci était impatient de retrouver les bras de celle qu'il aimait. Répondant aussi vite que possible il se dirigea avec un peu plus d'empressement vers les appartements de la reine, tout en contemplant les merveilleux tableaux qui décoraient les murs en pierre du Palais . Arrivant devant la porte il donna une douce impulsion et frappa

Louis attendit que l'on vienne lui ouvrir découvrant avec plaisir que c'était Marguerite qui était venu lui ouvrir. IL rentra et deposa sur la main de sa tendre et belle mie un baiser puis lui adressa ces quelques mots en souriant.

Ma douce et tendre épouse quelle joie de vous revoir , il me tardait que de me retrouver en vôtre compagnie. Comment allez vous ma douce ? comment vont les enfants ? racontez moi un peu vôtre journée

il la laissa parler la regardant avec amour

Les journées de Marguerite se ressemblaient en général. Elle les passaient en compagnie de ces dames, avec qui elle lisait, priait, barvardait, jouait à des jeux. Quand sa belle-mère n'était pas présente pour la critiquer, Marguerite aimait prendre ses enfants dans ses appartements et s'en occuper. Ce qui était le cas aujourd'hui. Les deux petites filles âgées de deux ans et deux mois étaient en train de dormir au moment où le roi frappa à la porte.

Marguerite alla lui ouvrir elle-même. Ce qui n'était pas très protocolaire. Mais vu que Blanche de Castille n'était pas là, sa belle-fille se permettait quelques libertés. Elle se doutait que c'était son époux qui venait lui rendre visite comme il le fait régulièrement. Elle lui fit une petite réverence et lui fit signe de ne pas faire trop de bruit pour ne pas reveiller Blanche et Isabelle.

- Bonjour mon aimé. Je suis moi aussi bien aise de vous voir. Vous me manquiez. J'étais en train de faire quelques lectures avec mes dames à voix bases. Nos filles sont ici. Elles dorment dans mon lit. Aussi, je vous pris d'essayer de ne point faire de bruits. Je ne tiens pas à ce qu'on les reveilles. Vous savez combiens leur sommeil est important pour avoir une meilleure constitution et santé. Et vous, comment allez-vous aujourd'hui ?

Après avoir fait une profonde révérence et saluer le roi, les dames de compagnie de la reine quittent la pièce pour laisser le couple.
Marguerite referma la porte et alla s'asseoir à coté de son époux sur un fauteuil ou il s'est installé.

Le roi aimait ce genre de visite pour voir sa femme , après tout ce n'est pas parce qu'on est souverain que l'on doit être infidèle et absent. De toute façon Louis avait horreur de l'infidélité et son travail nécessitait aussi de prendre des poses après tout il était le roi.
Sa douce épouse , lui signifia son manque et que leur filles dormaient à point fermé. d'un geste alors délica il referma la porte avec le plus grand silence et lui répondit avec une voix douce calme et posé

Vous me manquiez aussi ma douce moitié, nos enfants doivent se reposer. Ce sont les princesse du Royaume mais avant tout nos princesse à nous il faut qu'elle soient en excelente santé pour leur avenir.

le roi eu à peine le temps de finir que les demoiselles de compagnies de la Reine se retirent avec le plus grand silence pour ne pas gêner le couple Royal. Main dans la main le roi prit place sur le long divan de la reine tout en ontemplant sa femme en la regardant de face et lui raconte avec joie

Mon amour , ce matin je me suis réveillé ,puis je me si levé,j'ai fait ma toilette ensuite comme vous dormiez j je vous ai contemplé un court insitant . Ne voulant point vous dérandé j'ai préféré prendre la colation du matin dans la salle où nous prennons nos repas pour pas vous reveiller mais je suis parti en vous déposant un tendre baiser sur le front.
Après ma collation je suis allé me detendre dans le jardin un petit moment pour profité du temps magnifique que le Seigneur nous a donné, puis déhanbullant dans les couloirs du palais je suis allé rejoindre mon bureau pour commencer à travailler sur un premier dossier.je songeais à établir des lois pour le royaume afin qu'il soit exemplaire dans toute l'europe , comme condamner la prostitution ou punir l'infidélité. Le second dossier est plus d'ordre exterieur

Louis marqua un temps de pause et réplica


Je songe faire plaisir au pape en m'engageant dans la croisade . ce n'est d'ailleurs pas qu'un souhait pour faire plaisir au pape mais une promesse faites à Dieu lors de ma guerison.

Si l'on conquis Jérusalem ce serait un point strategique pour le royaume bref .....

je me suis pas accorder de pause pour déjeuner , j'ai ré attaqué sur le dossier militaire qui me semble nécéssaire de restructurer et puis un peu à discipliner ce qui ne leur fera pas de mal . j'ai songé aussi à vous ma doue épouse et vôtre rôle dans le royaume , et , je me disais que vu vôtre place au sein de l'europe et vos relations que vous entretenez il serait bien de vous instaurer à la politique étrangère , les relations entre royaume . J'ai songé aussi à former autour de moi des conseillers qui me donnerai un avis bien que le vôtre est plus important à mes yeux vous le savez , puis pour terminez je songe à instaurer une politique culturelle au sein de la France, vous comprendrez que je veux voir briller mon royaume à travers le monde .

et comme le jour était bien avancé je me suis dit qu'un instant de répit se devait d'être observé , alors , transversant les couloirs je suis venu vous rejoindre . Je vous avouerai aussi que j'aurai dû venir plus tôt mais en venant vous voir on m'as retardé .

Louis se leva et voyant le soleil se coucher il se leva et alluma les bougies , ainsi que les lutres. La pièce qui avait perçu jusqu'à lors les rayons de soleil donnant un côté blanchâtre , recevait maintenant une lumière plus sombre et tamisé d'une couleur plutôt oranger. Bien que la pièce avait un aspect plus sombre il n'en était pas moins que la multitude de bougie eclairait assez bien la pièce. Une fois la bisogne faite il se raprocha de sa femme , s'assit et d'un air tendre et toujours silencieux , pour ne pas réveiller leur enfants, lui répondit



que pensez vous de tout ça ? je suis toujours soucieux d'avoir vôtre avis , car vous êtes tout a mes yeux , vous êtes e que j'ai de plus cher au monde vous et nos enfants.

il la laissa répondre puis lui répondit

ma douce épouse , quel à été vôtre journée ? n'êtes vous point fatigué ? dites moi tout j'aime me souciez de vous

la nuit finit par tomber leur laissant encore plus d'intimité Louis éta alors sa femme avec attention.

Marguerite chuchotais elle-aussi comme son époux pour ne pas reveiller les petites filles. Elle jetta un coup d'oeil très discret sur Blanche et Isabelle pour être sûre qu'elles dormaient toujours. Blanche ne bougeait pas. Elle dormait très pésiblement. Isabelle quand à elle faillit se reveiller mais finalement prolongea son sommeil. La reine s'asseoit ensuite à coté du roi. Elle se mit à parler des princesses. Marguerite était une mère très attentive et qui s'occupaient beaucoup de ses enfants. Elle s'inquietaient toujours de leur bien-être

- Tout va bien, elles dorment toujours profondement. Cela serait bien qu'elles dorment encore une demi-heure, puis qu'elles se reveillent seules et ou qu'on les reveillent. Cela fait déja plus de deux heures qu'elles dorment. Si elles dorment trop, elles vont pleurer cette nuit et seront épuisées demain. Ce qui ne serait pas bon. De plus, Blanche doit prendre une collation et Isabelle, boire son lait.

La conversation se poursuivit ensuite sur la journée du roi. Elle était visiblement ordinaire. Marguerite remercia Louis de ne pas l'avoir reveiller. Elle était très fatiguée. Pendant plusieurs nuits, Isabelle n'avait pas arrêter de pleurer et Marguerite ne peut dormir lorsqu'elle entends une de ses filles pleurer, même si une nourire et plusieurs domestiques sont là pour veiller sur les princesses. Marguerite se levait et essayait de faire rendormir elle-même ses enfants. La nuit dernière avait été calme. Isabelle n'avait pas pratiquement pas pleurer et sa mère avait pu recuperer un peu de sommeil.

- Je vous remercie de ne point m'avoir reveiller ce matin. Cette nuit à ete la première, depuis une semaine que j'ai pu dormir relativement bien. Isabelle n'a pleurer qu'une seule fois. Je me fais moins de soucis pour elle. Elle semble aller bien. Il semblerait qu'elle ait pleurer les nuits précédentes à cause de ses dents qui poussent et qui lui fond mal. Mais je pense que cela se calmera vite.

La reine écouta ensuite son époux parler de s'engager dans une croisade. Marguerite était elle-même très pieuse. Mais elle craignait qu'une croisage soit beaucoup trop dangereuse si pour Louis même s'il le fait pour Dieu. Le peuple a egalement besoin de son roi.

- Je ne pensais point que vous songiez à vous engagez dans une croisade. Je comprends vos motivitations qui sont pour le Pape ou plus pour Dieu et votre Salut. Mais songez à votre peuple. Il vous aime tellement et il a tellement besoin de vous. Vous savez à quel point le peuple est pauvre mais il croit en vous. Si vous venez à mourir... Qui vous succèdera ?

Marguerite etait émue mais elle essayait de le dissimuler au mieux. En évoquant le fait que le roi pouvait mourir, la reine se rappela qu'elle n'avait toujours pas de fils au monde pour succeder à son père. Ce qui est terrible pour elle.

- Je ne vous ait point donner de Dauphin... Et je doute que si un de vos frères vous succède, ceci soit bon pour la France. Ne ne le prenez-point mal ce que je vais dire. J'ai beaucoup d'affection pour nos frères. Mais selon-moi, ils ne seront jamais de bons rois, ni pour le peuple, ni la politique exterieur. Ils ne sont pas comme vous.

Les frères du roi étaient en effet très differents de Louis. Ils n'avaient pas les mêmes idées. Marguerite les respectait et essayait de les considerer comme ses frères mais elle se méfiait d'eux également.

C'est ainsi que la conversation metta sur le tapis la politique. Marguerite fut très surprise que son époux lui propose de jouer un rôle politique. La reine en rêvait depuis longtemps mais son époux préfèrait jusqu'à maintenant la tenir à l'équart.

- Vous savez à quel point je serais heureuse de pouvoir jouer un rôle politique et en particulier en mathière de politique étrangères. Vous connaissez la positions de mes soeurs dans les Cours étangères. Ceci peut être un atout. Et biensur je suivrais de très prêt vos conseils et j'essayerais de vous en donnez également. Mais je vous conseille de ne point trop nommer de conseiller. Certains peuvent être nefaste et faire du tort à la France. Vous êtes le meilleur roi que le pays puissent esperer. Gouverner seul, c'est le premier conseil que je puisse vous donnez.

Marguerite sourit à son époux et marqua une pause pour voir ce qu'il allait repondre.

- Je serais plus qu'heureuse, si vous le permettez bien sûr, de pouvoir contribuer à l'enrichissement culturelle de la France. Je trouve que la culture est très importante. Ne croyez surtout pas que je veuille me venter car ce n'est pas du tout le cas mais dans ma jeunesse, une grande partie de mon éducation a été la culture. Je voudrais que nos filles puissent avoir la même et le peuple aussi d'ailleurs.

La reine resta assise au moment où le roi se leva pour allumer les bougies, puis s'approcha d'elle. Il lui demanda de lui raconter sa journée et quand Marguerite s'apprêta à le faire, la petite Blanche s'était réveiller et elle s'était lever. Elle cherchait sa "maman". La reine se leva et pris sa fille dans les bras en l'embrassant.

- Oh vous vous êtes reveillée ! Avez-vous bien dormit ?

La petite fit un signe positif de la tête, n'ayant que deux ans, Blanche ne parlait pas encore beaucoup. Elle était encore à moitier endormit. Elle se cachait dans les bras de sa mère.

- Regardez qui est là, c'est votre papa. Dites lui bonjour.